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Bernard Long

Bernard Long, médecin homéopathe, publie plusieurs textes sur l’homéopathie et les symboles.

 

Ses recherches s’appuient également sur les travaux de C.G. Jung.

Lexique de l’homéopathie

Le présent lexique de l’homéopathie (68 termes) a été établi par le docteur Bernard Long 1

De A à D : Allopathie | Analogie | Antidote | Bernard Claude | Biothérapique | Carbonique | CH – Centésimale hahnemannienne | Compensation | Complémentaire | Complexisme | Concomitant | Constitutions | Déduction | DH – Décimale hahnemannienne | Diathèse | Dilution | Drainage | Dynamisation

De D à L : Empirisme | Énantiopathie | Épidémie | Fleurs de Bach | Expérience, expérimentation | Fluorique | Gemmothérapie | Globules | Granules | Hahnemann Samuel | Hering Constantin | Hiérarchie des symptômes | Hippocrate | Incompatible | Individualisation | Induction | Isopathique, isothérapie | K – korsakovienne | Kent James Tyler | Lithothérapie | Luèse

De M à Z : Maladie aiguë | Maladie chronique | Mécanisme | Médecine empirique | Médecine expérimentale | Miasme | Monothérapie | Naturopathie | Nosode | Oligo-éléments | Organothérapie | Palliatif | Pathogénésie | Phosphorique | Phytothérapie | Placebo | Pluralisme | Proving | Psore | Sels de Schüssler | Similitude | Simile | Similimum | Sycose | TM – teinture mère | Tuberculinisme | Typologie | Unicisme | Vitalisme

Allopathie : terme inventé par Hahnemann pour désigner une thérapie ne recourant ni au principe de similitude, ni au principe des contraires, mais à d’autres principes (du grec allos signifiant autre ou différent). Dans le langage courant, on confond souvent l’allopathie avec l’énantiopathie. VoirEnantiopathie.

Analogie : est une ressemblance perçue entre deux éléments différents.

Antidote : médicament qui neutralise un poison ou va à l’encontre des effets d’un autre médicament. En homéopathie, il ne s’agit pas d’une action chimique, mais d’une action pharmacodynamique capable de neutraliser par similitude l’action d’un autre médicament homéopathique. On peut aussi considérer le camphre, le café et la menthe comme des antidotes de nombreux médicaments homéopathiques, en particulier s’ils sont pris trop près d’une prise médicamenteuse.

Bernard Claude : médecin et physiologiste français (1813-1878). Il a posé les principes de la médecine expérimentale. Voir Médecine expérimentale.

Biothérapique : voir Nosode.

Carbonique : voir Constitutions.

CH – centésimale hahnemannienne : voir Dilution.

Compensation :

Voir également l’article L’information compensatoire.

La maladie peut être considérée comme une tentative d’autorégulation de la structure vitale mise en danger par des forces perturbatrices. Cette force de cohésion interne, la natura hippocratique, tente de rééquilibrer l’homéostasie au moyen de symptômes dont le rôle est double : alerte et autoguérison.

Si la maladie compensatoire dépasse son but, qu’on en perd le contrôle, elle devient un danger pour l’organisme. Si la force de cohésion de la natura est affaiblie, la maladie est incurable par la seule force de l’individu : il faut utiliser des remèdes palliatifs.

Malheureusement, cette tentative de retrouver notre équilibre (quasiment un phénomène d’équilibre de structure) se bloque parfois car la maladie compensatoire n’a pas la force du désordre primitif.

Seule une information médicinale (ou parfois d’une autre nature) semblable à la maladie compensatoire, mais de force (énergie) supérieure à la première peut aider le sujet à sortir de son conflit. En l’occurrence, le médicament homéopathique est une information médicinale compensatoire de ce type.

Complémentaire : deux médicaments homéopathiques complémentaires ou synergiques offrent une similitude partielle. Leur emploi successif est justifié, l’action du second complétant l’action incomplète du premier. Par exemple, un cas aigu Belladona est souvent complété par une prise de Calcarea carbonica.

Complexisme : pratique homéopathique qui consiste à mélanger de nombreuses substances homéopathiques dans un même médicament.

Concomitant : il s’agit d’un symptôme qui ne fait pas partie des symptômes nosologiques habituels de la maladie et qui est apparu en même temps que cette maladie.

Constitutions : tentative de classification des patients selon une typologie qui correspondrait à trois types :

  1. carbonique – sujet trapu et bréviligne, c’est un réaliste ;
  2. phosphorique – longiligne passionné, idéaliste ;
  3. fluorique – hyperlaxe, asymétrique.

Ces constitutions, liées à un radical chimique, ne forment pas un symptôme homéopathique, mais une simple présomption dont il faut se méfier. Un sujet déclaré « carbonique » peut fort bien avoir besoin d’une prise de Phosphorus si les symptômes homéopathiques l’indiquent. Voir Typologie.

Déduction : méthode de raisonnement par laquelle on admet d’un principe ou d’une hypothèse toutes les conséquences qui en découlent. L’homéopathie n’est pas déductive mais, fidèle à la médecine hippocratique, elle a un raisonnement inductif qui part de l’expérience et non d’une hypothèse. Voir Induction.

DHdécimale hahnemannienne : voir Dilution.

Diathèse : le terme est ambigu. Diathèse peut signifier « disposition d’un organe à être affecté de maladies » (Broussais). L’école de Montpellier pensait que les diathèses étaient des affections morbides latentes qui attendaient l’occasion favorable pour se manifester. L’École française d’homéopathie ne parle pas de miasmes, mais de diathèses. Il en existerait quatre : la psore, la sycose, la luèse et le tuberculinisme. Voir Miasme.

Dilution : Hahnemann eut assez rapidement l’idée de diluer ses préparations pour éviter l’aggravation toxique du traitement. Il obtenait ainsi une action plus douce et plus fiable. Voir   Dynamisation.

Drainage : le drainage est pratiqué depuis l’Antiquité. Il part du principe qu’il faut traiter la maladie en soustrayant au corps les toxines par les émonctoires. La vision de la maladie est humorale et non dynamique comme dans l’homéopathie.

Elle a été remise au goût du jour par le docteur Nebel et le pluralisme, qui pense éviter par le drainage une aggravation toxinique due à l’action d’un médicament semblable.

Dynamisation : Hahnemann eut l’idée de dynamiser ses préparations pour leur donner de la puissance. La dynamisation implique, lors de la préparation d’un médicament homéopathique, un mouvement répété de percussion, vif et puissant, du flacon de liquide sur une surface ferme et élastique. Voir Dilution.

Empirisme : savoir fondé sur l’expérience. S’oppose à un savoir expérimental qui repose sur une observation, une hypothèse et la vérification de cette hypothèse. L’homéopathie ne fait pas actuellement partie de la médecine expérimentale.

Énantiopathie : méthode thérapeutique qui prétend guérir les maladies par le principe des contraires. C’est un terme inventé par Hahnemann. Voir Allopathie.

Épidémie : propagation d’une maladie par contagion ou, sans phénomène de contagion, qui touche un grand nombre de personnes en même temps, dans un même lieu. Lors d’une véritable épidémie, les traitements homéopathiques ne sont souvent pas individualisés.

Quelques médicaments se retrouvent en permanence, ils correspondent à la nature entière de l’épidémie. Ce choix peut être appelé groupe des médicaments typiques de cette épidémie particulière, médicaments à l’aide desquels le médecin pourra guérir presque tous les cas.

Fleurs de Bach : au départ, 38 remèdes naturels. La méthode du docteur Bach (qui date des années 1930) est basée sur une intuition, une sorte d’osmose chamanique entre la substance, le patient et le thérapeute. Elle n’est pas homéopathique, car ne se base pas sur une pathogénésie.

Expérience, expérimentation : Voir Médecine expérimentale.

Fluorique : voir Constitutions.

Gemmothérapie : méthode thérapeutique qui utilise des extraits de bourgeons végétaux ou autres tissus embryonnaires végétaux en voie de croissance, recueillis frais. Elle ignore la pathogénésie.

Globules : toutes petites sphères de sucre imprégnées de substance active, contenues dans les doses de 200 globules environ (1 gramme).

Granules : petites sphères de sucre imprégnées de substance active, et contenues dans des tubes de 75 à 80 granules environ (4 grammes).

Hahnemann Samuel : médecin allemand, né le 10 avril 1755 à Meissen, mort en 1843 à Paris. Il a fondé les bases de l’homéopathie (ou homœopathie) et en a développé la théorie.

Hering Constantin : médecin homéopathe allemand (1800-1880), émigré en 1833 en Amérique. Il est l’auteur d’une encyclopédie de matière médicale clinique inégalée. Il est aussi l’homme de la « loi de Hering » qui précise que les symptômes guérissent selon des directions : du dedans au dehors, du haut en bas, dans l’ordre inverse de leur apparition.

Hiérarchie des symptômes : il existerait dans le choix des symptômes homéopathiques une hiérarchie selon laquelle des symptômes psychiques seraient plus importants que des symptômes locaux. En réalité, la seule hiérarchie valable est celle qui tient compte des symptômes objectifs et/ou subjectifs caractéristiques, les plus frappants, les plus originaux, les plus inusités et les plus personnels. Un symptôme psychique banal n’a aucune valeur face à un symptôme local très personnel et très caractéristique.

Hippocrate : médecin grec né dans l’île de Cos vers 460 av. J.-C., mort à Larissa vers 370 av. J.-C. Hippocrate est considéré comme le père de la médecine occidentale.

Incompatible : on ne doit pas donner deux médicaments incompatibles en même temps. Par exemple, on ne peut mélanger Causticum et Phosphorus.

Individualisation : acte diagnostique qui consiste à déterminer ce qui est particulier à un malade donné, par rapport aux autres malades atteints de la même maladie, pour lui donner un médicament spécifique, non pas de la maladie, mais de sa maladie.

Induction : système de raisonnement basé sur l’analyse de faits individuels pour remonter vers des conclusions générales. L’homéopathie est inductive, elle a un raisonnement qui part de l’expérience et non d’une hypothèse. Voir Déduction.

Isopathique, isothérapie : l’isothérapie est une utilisation de médicaments dilués et dynamisés selon le principe d’identité, qui peuvent être préparés à partir d’un tissu ou des excreta du malade (urine, pus, expectoration, etc.), on parle alors d’auto-isothérapique.

Ils peuvent être préparés à partir d’une substance extérieure au malade susceptible de déclencher une crise morbide (le pollen qui peut déclencher une crise de rhume des foins, une allergie), un agent toxique (le tabac chez un fumeur qui veut se désintoxiquer), on parle alors d’hétéro-isothérapique.

Il ne s’agit pas de médicaments homéopathiques au sens strict du terme. Ils sont dilués, mais n’ont pas de pathogénésie et sont donnés selon un principe d’identité et non de similitude.

K – korsakovienne : voir Dilution.

Kent James Tyler : médecin homéopathe américain (1849-1916), auteur d’un répertoire homéopathique très utile.

Lithothérapie : médecine qui se sert des pierres pour soigner. Ne connaît pas la pathogénésie.

Luèse : miasme hahnemannien. Voir Miasme.

Maladie aiguë : maladie dont la durée d’évolution est variable, mais toujours passagère (elle guérit rapidement et est rarement mortelle).

Maladie chronique : maladie insignifiante au début, et souvent même imperceptible, qui évolue de façon sournoise et progressive.

Mécanisme : approche du phénomène de la vie selon Descartes (1596-1650) : « Les hommes sont composés d’une âme et d’un corps qui n’est qu’une statue. » Pour Descartes, la mort n’arrive jamais par la faute de l’âme, mais seulement parce qu’une des principales parties du corps se corrompt, car il y a autant de différence entre le corps d’un homme vivant et celui d’un homme mort qu’entre une montre ou un automate lorsqu’il est remonté et lorsqu’il est rompu. La médecine expérimentale est issue du mécanisme cartésien.

Médecine empirique : voir Empirisme.

Médecine expérimentale : La médecine expérimentale de Claude Bernard implique l’observation du fait, une explication anticipée – hypothèse – et la vérification de cette hypothèse. La médecine expérimentale connaît l’expérimentation qui permet de vérifier l’hypothèse, l’homéopathie connaît l’expérience sur laquelle s’appuie sa méthode inductive.

Miasme : Hahnemann considérait que les maladies chroniques étaient dues à des agents infectieux chroniques, les miasmes. Il pensait que les miasmes étaient au nombre de trois :

  1. la psore, se manifestant au début par une sorte de gale rentrée avec un organisme intoxiqué, des perturbations infinies, avec des alternances morbides à tous les niveaux ;
  2. la sycose ou gonococcie, se manifestant par des verrues, des fics, de la rétention d’eau, de l’infiltration des tissus avec induration ;
  3. la luèse ou syphilis, apparaissant sous forme de dégénérescence, d’ulcérations, de destruction.

La notion de miasme fut très évolutive selon les auteurs. L’École française parle de diathèses, et non de miasmes.

Monothérapie : Voir Unicisme.

Naturopathie : thérapeutique dont les principes de base sont tirés de l’observation des phénomènes de la nature, de l’étude de la biologie, de la physiologie et de l’écologie. L’hygiénisme en fait partie.

Nosode : un nosode ou biothérapique est une préparation obtenue à partir de tissus animaux ou humains, de cultures microbiennes, d’excrétions pathologiques ou non, de vaccins ou de sérums.

Les souches sont préparées selon la méthode homéopathique. On trouve des médicaments comme : Psorinum, Medorrhinum, Luesinum, Tuberculinum, etc. Certains ont une pathogénésie, d’autres non.

Les médicaments sans pathogénésie sont utilisés surtout pour lever un « barrage » biologique qui aurait pu se former après une maladie, à distance de celle-ci. Ils peuvent servir à préparer un organisme à un éventuel contact avec un agent infectieux, comme Influenzinum peut être donné pour prévenir la grippe.

Oligo-éléments : éléments minéraux (cuivre, cobalt, manganèse, or, argent) présents dans l’organisme en très petites quantités. Les oligo-éléments sont utilisés comme modificateurs de terrain. Il s’agit d’allopathie. Très compatibles avec l’homéopathie.

Organothérapie : l’organothérapie est une thérapeutique basée sur le principe d’identité. On donne en dilution le tissu correspondant à l’organe malade. Par exemple, on va administrer du cartilage dilué dans un cas d’arthrose ou du tissu colique dans une maladie du colon. Ce n’est pas de l’homéopathie au sens strict du terme.

Palliatif : se dit d’un traitement dont l’objectif est d’atténuer les douleurs, de soulager les symptômes d’une maladie et d’assurer au patient une certaine qualité de vie, alors que son état n’est plus du ressort d’un traitement curatif.

Pathogénésie : c’est l’expérience faite sur des sujets sains pour révéler l’action de substances sur l’organisme. Les Anglo-Saxons nomment la pathogénésie proving. En réalité, au-delà de celle faite sur des sujets bien portants, la pathogénésie est désormais constituée par le recueil de trois types de symptômes :

  1. des symptômes d’intoxication déclenchés par l’ingestion de substances en grandes quantités : empoisonnements, effets secondaires de médicaments ;
  2. des symptômes déclenchés par des substances diluées et dynamisées ;
  3. des symptômes non décrits jusqu’alors, guéris de façon quasi certaine par un médicament homéopathique, qui sont dès lors considérés comme appartenant au champ thérapeutique du médicament.

Phosphorique : voir Constitutions.

Phytothérapie : médecine par les plantes.

Placebo : mot latin signifiant « je plairai » que l’on utilise pour désigner un médicament factice ne contenant aucune substance active.

Pluralisme : prescription de plusieurs médicaments homéopathiques à la fois (sans toutefois les mélanger). Exemple : Pulsatilla le matin, Kalium bichromicum à midi et Sepia le soir.

Proving : voir Pathogénésie.

Psore : miasme hahnemannien. Voir Miasme.

Sels de Schüssler : les sels minéraux de Schüssler, au nombre de douze, furent choisis comme base thérapeutique pour avoir été décelés dans l’organisme humain, à partir des analyses réalisées à l’époque (1873).

Similitude : c’est la base de l’homéopathie. Similia similibus curentur (on peut traiter les semblables par les semblables).

Simile : médicament homéopathique qui correspond partiellement à l’image d’un patient. C’est un médicament efficace, mais dont l’action est moins profonde et moins durable que celle du similimum.

Similimum : médicament homéopathique qui correspond exactement à l’image d’un patient. C’est le médicament idéal, dont l’action est profonde et durable.

Sycose : miasme hahnemannien. Voir Miasme.

TM – teinture mère : macération de 3 à 5 semaines d’une plante fraîche dans de l’alcool (au 1/10 du poids de drogue déshydratée) titrant au moins 60 °.

Tuberculinisme : voir Diathèses.

Typologie : c’est le type sensible d’un médicament. Par exemple, on a souvent remarqué que Pulsatilla était plus fréquemment retrouvé chez des jeunes filles blondes rougissantes. En fait, il s’agit d’une présomption selon un type « sensible » et non d’un symptôme homéopathique. Jamais Pulsatilla n’a rendu une femme blonde, et une femme brune (et même un homme brun) peut avoir besoin de ce médicament. La notion de constitution pose le même problème typologique. Voir Constitutions.

Unicisme ou monothérapie : on ne prescrit qu’un seul médicament homéopathique à la fois. C’est la méthode préconisée par Hahnemann.

Vitalisme : doctrine médicale développée particulièrement par P.-J. Barthez (1734-1806) à l’école de Montpellier. Le principe vital de l’homme doit être conçu par des idées différentes des attributs de l’âme et du corps. On doit considérer toutes les fonctions de la vie comme étant produites et régies par un seul principe vital.

Les lois de ce principe sont absolument étrangères aux lois connues de la mécanique, de l’hydraulique, de la physique et de la chimie. Le vitalisme n’exclut pas l’étude des mécanismes indispensables à la vie, mais il les considère comme trop partiels pour expliquer de façon exhaustive le système complexe de la vie.

L’homéopathie appartient certainement au monde du vitalisme. Elle n’exclut pas de confronter son point de vue à celui du mécanisme, au contraire, car ces deux approches peuvent se compléter.

 

Important : il est possible que l’un des remèdes décrits sur ce site vous convienne, mais on ne peut l’affirmer sans un interrogatoire et un examen sérieux effectués par un médecin homéopathe. Le site est fait pour faire connaître l’homéopathie, en aucun cas il ne peut se substituer à un thérapeute. Le docteur Bernard Long n’assure plus de consultations.

Articles de Bernard Long

Notes :

  1. Il est extrait de son ouvrage Vivre avec l’homéopathie (Montpellier : Indigène Editions ; 2008.).



Bernard Long

Bernard Long, médecin homéopathe, publie plusieurs textes sur l’homéopathie et les symboles.

Ses recherches s’appuient également sur les travaux de C.G. Jung.

Il est l’auteur de nombreux ouvrages.

Bernard Long

Médecin homéopathe, j’ai entrevu des ponts très évidents entre le monde jungien et l’homéopathie.
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