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Les Borgs de Star Trek : symbole de l’inconscient collectif dans son aspect d’ombre dévorante et annihilante (1/3)

À la lumière de l’approche de l’analyste jungien Erich Neumann, l’inconscient collectif dans son aspect d’ombre dévorante et destructrice, tel qu’illustré par les Borgs de la série Star Trek.

Les Borgs représentent une pseudo-espèce cybernétique qui dépouille activement chaque société extraterrestre qu’ils rencontrent de leur caractère individuel afin de les intégrer au Collectif Borg.

Version anglaise de cet article

Cet article s’appuie sur l’ouvrage de l’analyste jungien Erich Neumann Depth psychology and a New Ethic (1949) [Psychologie des Profondeurs et une Nouvelle Éthique, livre non traduit en français].

Erich Neumann

Erich Neumann, dont nous avons présenté plusieurs ouvrages, était un psychologue allemand et un étudiant éminent de Carl Jung. Il s’est enfui à Tel Aviv en 1934 pour fuir le nazisme. Ses théories ultérieures sur l’Ancienne Ethique et la Nouvelle Ethique, en écho aux atrocités qui se sont produites durant la Seconde Guerre mondiale, proposent une nouvelle orientation. Il écrit :

« Mais dans tous les cas, cela [l’ancienne éthique] implique une affirmation du caractère absolu de certaines valeurs qui sont représentées par cette ancienne éthique comme des « devoirs » moraux. » [traduit de l’anglais]

Dans toute culture, certaines valeurs et certains idéaux ont la primauté. Ils sont bons à cent pour cent et donc éthiques. Les raisons d’un choix particulier de valeurs peuvent être soit le fruit d’une réflexion ou bien découler de peurs, de défenses ou de désirs inconscients. Ils ont souvent une origine lointaine et sont parfois périmés. Ils peuvent être complètement arbitraires et le résultat d’un événement fortuit. Certains idéaux n’ont été utiles qu’aux personnes qui les ont promulgués.

L’individualité comme valeur la plus élevée

À l’heure actuelle, en Occident, l’une des valeurs les plus importantes est l’idée que chacun de nous est unique et important en soi. Dans cette optique, chacun devrait avoir les mêmes droits et les mêmes opportunités, comprenant la liberté de choisir notre propre chemin de vie menant à une vie plus épanouie.

Star Trek est l’une des plus grandes séries télévisées qui illustre les principaux concepts jungiens. L’action se déroule dans le futur avec la capacité de voyager dans l’espace à une vitesse qui dépasse celle de la lumière. Au fil des épisodes et des différentes séries, diffusés entre 1966 et 2023, est explorée et amplifiée la dynamique des relations personnelles et des civilisations entières. Le potentiel créatif est illimité et s’affranchit des limites habituelles liées à la physiologie de l’Humain et aux lois de la physique. Star Trek amplifie notre psychologie à partir de structures sociétales humanoïdes exotiques.

Dans l’univers de Star Trek, la Fédération des Planètes Unies est une union interstellaire de plusieurs planètes sous un seul gouvernement central. Elle est fondée sur les principes de liberté, d’égalité, de paix, de justice et de progrès. Dans la Fédération, qui comprend la Terre, ces valeurs s’étendent aux espèces extraterrestres et à plusieurs types d’intelligence, y compris l’intelligence artificielle sous forme d’hologrammes, androïdes et synthétiques. De nombreux épisodes sont consacrés à l’exploration de la question de l’égalité des droits sous différents angles.

Alors, comment parvenir à une société selon les valeurs que nous avons choisies ? Neumann écrit :

« Nous avons toujours soutenu que l’idéal de perfection peut et doit être réalisé par l’élimination des qualités qui sont incompatibles avec cette perfection. Le « déni du négatif », son exclusion forcée et systématique, est une caractéristique fondamentale de cette éthique. »

Suppression et répression

Il déclare en outre qu’il existe deux mécanismes possibles pour éliminer ce qui est en conflit avec nos valeurs afin de « réaliser l’adaptation à l’idéal éthique ». Les deux méthodes sont la suppression et la répression.

En supprimant certaines parties de nous-mêmes, nous prenons une décision délibérée de ne pas permettre à ces parties de s’exprimer ou de s’accomplir. Notre sacrifice est conscient et à travers notre souffrance, nous conservons un lien conscient avec ces parties rejetées. Nous pouvons nous souvenir que ces parties nous appartiennent.

Lorsque nous réprimons ces parties incompatibles, nous oublions complètement qu’elles font partie de nous. Nous perdons complètement contact avec elles. Elles échappent au contrôle conscient de notre ego et mènent une vie autonome dans notre inconscient.

L’ombre et la persona

Neumann poursuit :

« Le résultat naturel de cette tentative est la formation de deux systèmes dans la personnalité, dont l’un reste généralement complètement inconscient, tandis que l’autre se développe en un organe essentiel de la psyché avec le soutien actif de l’ego et de l’esprit conscient. »

Ces deux systèmes sont :

  • l’ombre, qui est inconsciente et contient les parties réprimées,
  • la persona, qui est la partie de nous que nous montrons au monde. Il est très important de développer une persona adéquate ou une adaptation « aux exigences de l’âge, de son environnement personnel et de la communauté ».

Conséquences pour l’inconscient collectif

La personne individuelle qui supprime le contenu incompatible est mieux lotie que la personne qui le réprime. A un moment donné, cette dernière sera invariablement attaquée et submergée par « les forces obscures de l’inconscient ».

Mais, pour l’inconscient collectif, les deux méthodes sont désastreuses :

« Dans les deux cas, le collectif doit payer pour la fausse vertu de l’individu. La suppression et, plus encore, la répression aboutissent à une accumulation de contenus supprimés ou réprimés dans l’inconscient. »

De plus, ces contenus ne restent pas immuables mais évoluent indépendamment, régressent et deviennent en général plus primaires et destructeurs que ce qui avait été initialement supprimé ou réprimé.

Le Borg comme symbole de l’ombre collective

Compte tenu de l’accent mis par notre société occidentale moderne sur l’individualité, il n’est pas surprenant que les Borgs, symbole de l’ombre collective dans Star Trek, contiennent l’extrême opposé.

Les Borgs sont à l’origine des formes de vie normales mais ont évolué vers un mélange de vie organique et artificielle avec des améliorations cybernétiques. Ils n’existent pas en tant qu’individus mais font plutôt partie d’un grand collectif. Chaque drone Borg est connecté à des milliers de voix dans sa tête, ce qui lui permet de communiquer efficacement et de travailler comme un seul organisme. Lorsqu’ils sont coupés de cet esprit de ruche, l’anxiété des drones Borgs augmente. Ils sont perdus et ils feront tout pour se reconnecter.

Le but principal du Borg dans la vie est de rechercher la perfection, l’ordre et l’efficacité. Il n’y a pas de place pour les sentiments désordonnés, les attachements, les émotions, les pensées individuelles ou l’existence d’une âme. Ils font preuve d’un manque de respect total à commencer par les droits les plus élémentaires des individus, en particulier la liberté.

Afin de se reproduire et de grandir en tant que civilisation, ils assimilent d’autres espèces. Chaque fois qu’ils rencontrent une nouvelle espèce, ils parlent à l’unisson, d’une voix robotique sans manifester d’émotion :

« Nous sommes les Borgs. L’existence, comme vous le connaissez, est finie. Vous serez assimilés. Nous intégrerons vos caractéristiques biologiques et technologiques aux nôtres. Toute résistance est inutile. » (Star Trek : Voyager)

Ils injectent à leurs victimes des nanoparticules de leur corps, celui-ci amélioré par la cybernétique, qui convertiront lesdites victimes en nouveaux drones Borgs. Toutes les connaissances et tous les souvenirs qui faisaient autrefois partie de ces individus font alors partie du Collectif Borg.

L’assimilation équivaut à un anéantissement total forcé de l’individu. Pour nous, c’est pire que la mort. Cela peut être comparé à une sorte de zombification.

En termes jungiens, être assimilé par les Borgs correspond à être entièrement dominé par l’ombre inconsciente que les Borgs représentent. Cela revient à perdre toute conscience du moi et à être possédé par l’ombre collective.

Comme c’est le cas pour les éléments d’ombre inconscients, les Borgs sont presque invincibles. Ils ont une force, une technologie et des capacités de déplacement supérieures, ce qui leur permet d’apparaître dans une instance n’importe où dans la galaxie. Lorsqu’une défense est développée ou qu’une nouvelle arme est utilisée contre eux, ils s’adaptent collectivement en quelques minutes.

Au début du récit de Star Trek, les Borgs sont complètement indifférenciés. Ils forment un être collectif qui incarne le mal à l’état pur, et être assimilé signifie que vous êtes perdu à jamais. Les drones Borgs, même les amis nouvellement assimilés, ne sont pas considérés comme des vies dignes d’être sauvées.

Mais, peu à peu, nous en apprenons davantage sur eux. Dans les séries Star Trek : La Nouvelle Génération (1987-1994) et Star Trek : Voyager (1995-2001) nous apprenons petit à petit à valoriser la vie des drones qui se sont séparés du Collectif.

Apprendre à connaître les Borgs

Dans un épisode de Star Trek : La Nouvelle Génération intitulé « Lou, le Borg », un adolescent Borg seul et blessé est retrouvé sur le site d’un accident. Le considérant comme un simple objet, l’équipage veut le laisser mourir. Ils ont peur d’être retrouvés et assimilés par les Borgs, qui sont connus pour « récupérer leurs morts ». Mais le Dr Beverly Crusher insiste pour qu’il soit sauvé.

Un plan est mis en place pour développer un virus informatique, le télécharger dans le drone Borg, puis le renvoyer au Collectif pour infecter le Borg. Encore une fois, c’est le Dr Crusher qui représente la voix de l’empathie :

Geordi (ingénieur) : « Si tout fonctionne comme je le prévois, il ne faudra que quelques mois pour que notre programme d’invasion se propage et que les Borgs y souffrent d’une défaillance totale de leurs systèmes. »

Dr Crusher : « Question : qu’est-ce qu’une défaillance totale de leurs systèmes en fait ? »

Data (lieutenant-commandeur) : « Les Borgs dépendent totalement de l’informatique et sa défaillance les détruira. »

Dr Crusher : « Je crois qu’il est important de bien énoncer nos intentions : anéantir une race tout entière. »

Picard (capitaine) : « Ce qui, dans la plupart des cas, serait inconcevable, mais je considère que les Borgs ne nous laissent pas de choix. »

Riker (commandant) : « Je suis d’accord. Nous sommes en guerre. »

Dr Crusher : « Mais même en temps de guerre, il y a des lois. On ne tue pas les civils aveuglément. »

Riker : « Il n’y a aucun civil parmi les Borgs. »

Picard : « Ils sont formés d’un être collectif unique. Dîtes-vous bien qu’un Borg n’est pas plus un individu que votre bras ou votre jambe. »

Dr Crusher : « C’est facile à dire. »

Picard : « Où voulez-vous en venir, docteur ? »

Dr Crusher : « Quand je regarde mon patient, je ne vois pas une ruche. Je ne vois pas une conscience collective. Je vois un jeune homme vivant qui a été blessé et qui a besoin de nous. Et nous voulons le renvoyer dans son monde en le transformant en instrument de destruction. »

Picard : « Résumons-nous, docteur : nous faisons face à un ennemi déterminé à nous détruire, et nous n’avons aucun espoir de pouvoir négocier la paix. À moins que cette situation n’évolue, nous sommes en droit de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour survivre. »

Au sujet de la guerre, Neumann écrit :

« Toutes les guerres (…) fournissent des exemples de cette coexistence entre une bonne conscience dans l’esprit conscient et une percée de l’ombre au niveau de l’action. »

L’équipage rationalise effectivement son plan de commettre un génocide par son besoin de survivre et par le point de vue que le drone Borg n’est pas un individu mais plutôt une partie du corps d’un être plus grand.

Mais, d’un point de vue psychologique, ils utilisent n’importe quelle justification pour laisser échapper leurs sentiments collectifs supprimés et/ou réprimés de haine, de cruauté, de violence et de manque général de respect pour les formes de vie et les cultures différentes des leurs.

À l’exception du Dr Crusher, l’équipage ignore en grande partie que leur plan d’action proposé est en fait contraire à leurs valeurs les plus élevées.

Et puis les choses se compliquent à mesure que leurs justifications commencent à s’effondrer. Au fur et à mesure que les membres de l’équipage s’occupent des soins médicaux et cybernétiques du drone, ils interagissent avec lui, apprennent à le connaître, l’influencent. Sous leurs yeux, il se transforme lentement en un adolescent blessé qui a le mal du pays et la peur. Il se rapproche de Geordi, l’ingénieur, et on lui donne un nom : Lou.

Malgré le malaise croissant de l’équipage concernant les implications éthiques de son utilisation comme arme, le capitaine Picard tient fermement au fait que les Borgs sont la plus grande menace pour leur existence. Il sait par expérience que ne pas profiter de cette opportunité serait une grave erreur.

Se remettre de la possession de l’ombre

Au cours de la saison précédente, Picard a été enlevé par les Borgs, assimilé et désigné sous le nom de « Locutus ». Alors qu’il faisait partie du Collectif, il a mené une attaque Borg sur Terre, qui a détruit 39 vaisseaux spatiaux et coûté la vie à 11 000 personnes. Picard a ensuite été sauvé et a dû passer par le processus difficile de « récupérer son individualité » et ainsi « la capacité de ressentir le traumatisme de l’assimilation » et « la culpabilité de son association avec les atrocités des Borgs ».

Être assimilé par les Borgs est analogue à être vaincu ou possédé par une partie de l’inconscient. Il pourrait s’agir d’une partie de l’inconscient personnel (un complexe autonome) lui-même alimenté par une partie issue de l’inconscient collectif (l’archétype derrière le complexe). Ces possessions peuvent être de courte durée et relativement courantes, comme dans un accès de rage soudain. Ou bien ils peuvent être de longue durée avec des conséquences plus graves, comme c’est le cas dans certains états psychotiques.

Retrouver son individualité après assimilation doit alors être compris comme retrouver le contrôle conscient de notre ego. Une fois revenus à la réalité, nous devons faire face à ce qui s’est passé alors que nous étions possédés par le complexe et/ou l’archétype. Nous devons assumer la responsabilité des dommages que nous avons causés, et cela peut impliquer la culpabilité, la perte et le chagrin face aux conséquences de nos actions.

Bien que Picard ne soit en aucun cas personnellement responsable des atrocités qu’il a commises en tant que Locutus, le thème de la culpabilité de Picard est exploré dans plusieurs épisodes et sur plusieurs séries Star Trek : au début de Star Trek : Deep Space Nine (1993-1999), et dans Star Trek : Picard (2020-2023).

Afin de devenir moins vulnérables à ces possessions, il est nécessaire de  prendre conscience des éléments déclencheurs et des origines de nos complexes. Ce travail d’intégration de l’ombre peut se faire avec l’aide d’un thérapeute, en analyse par exemple.

De même, afin de devenir moins vulnérable à la menace d’assimilation des Borgs, la Fédération doit en quelque sorte se lier d’amitié avec les Borgs et intégrer les composants de l’ombre qu’ils ont réprimés.

Avec une grande inquiétude, Picard rencontre enfin le drone Borg, qui le reconnaît instantanément comme l’ancien Locutus. En guise de test, Picard lui ordonne d’aider les Borgs à assimiler l’ensemble du navire. Mais de manière inhabituelle pour un Borg, il objecte :

« Ils ne le veulent pas [d’être assimilés]. … Ils nous résisteront. … Toute résistance n’est pas inutile. … Il [Geordi] préférerais mourir plutôt qu’être assimilé. … Geordi ne doit pas mourir. Geordi est un ami. »

Sur l’insistance supplémentaire de Picard, nous observons un tournant important dans son processus de pensée :

Picard : « Vous nous aiderez à assimiler ce vaisseau. Vous êtes Borg. Vous devrez nous aider. »

Drone Borg : « Je ne veux pas. »

Picard : « Qu’avez-vous dit ? »

Drone Borg : « Je ne veux pas vous aider. Je refuse. »

Picard : « Je ? »

Drone Borg : « Geordi ne doit pas être assimilé. »

Picard : « Mais vous êtes Borg. »

Drone Borg : « Non. Je suis Lou. »

Au lieu de dire « nous », comme le font habituellement les Borgs, il parle maintenant en son nom et dit : « je ». Il ne s’identifie plus aux Borgs ni au Collectif. Il n’est plus un Borg.

Une fois qu’il est fermement établi que Lou est désormais un individu avec des droits qui lui sont propres, le projet de l’utiliser comme arme est abandonné. Au lieu de cela, Lou a le choix de retourner sur le site du crash où les Borgs le récupèreront ou d’obtenir l’asile et de rester sur l’Enterprise. Il répond :

« Choisir ce que je veux … Je choisirais de rester avec Geordi. Mais c’est trop dangereux. Ils vont venir. Renvoyez-moi où vous m’avez trouvé. C’est la seule solution. »

Il reconnaît, et sacrifie par la suite, son souhait personnel de rester sur le vaisseau de la Fédération et d’être un individu afin de protéger son ami Geordi et les autres membres d’équipage de l’assimilation par les Borgs.

Maintenir la tension entre les contraires

Sa réponse montre la transformation qui peut se produire lorsqu’il devient possible de maintenir la tension entre les contraires. Dans ce cas, les opposés correspondent aux deux systèmes de valeurs diamétralement opposés des Borgs et de la Fédération. Les Borgs valorisent la communauté et l’ordre par-dessus tout, tandis que la Fédération valorise l’individualité et la liberté qui en découle.

Lou est capable de maintenir la tension entre les contraires en reconnaissant son attachement personnel à son ami Geordi. Il honore en même temps son sens de la communauté par son sacrifice pour le plus grand bien.

Picard espère que la connaissance du parcours de Lou aura une influence modératrice sur le Collectif :

« Il est possible, que durant le laps de temps où il conservera sa mémoire, la notion d’individualité qu’il a acquise avec nous puisse être transmise au Collectif Borg tout entier. Chacun des Borgs profiterait de l’expérience de Lou et éprouverait l’émotion … de la singularité.

Peut-être est-ce le plus pernicieux des programmes au fond : la conscience de soi pourrait se propager à travers le Collectif durant ce bref moment … et pourrait les changer à jamais. »

Le parcours courageux d’un individu peut influencer à jamais l’inconscient collectif et modérer son aspect d’ombre dévorante et annihilante.

L’article suivant de cette série sur l’ombre et le mal dans Star Trek illustre les concepts jungiens d’identification à la persona, d’ombre collective, d’inflation et la notion de bouc émissaire.

Article original et traduction par Peggy Vermeesch.

Septembre 2023

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Peggy Vermeesch

Basée en France, Peggy Vermeesch est psychopraticienne d’orientation jungienne. Professeure d’anglais à l’Université de Bretagne Occidentale, elle a également un long parcours de chercheuse en géophysique à l’Imperial College London, l’université du Texas (États-Unis) et celle de Southampton (Royaume-Uni).

Contributrice au sein de l’équipe Espace Francophone Jungien (EFJ) elle assure également les liens entre le monde anglophone (Jungian Psychology Space) et francophone.

En savoir plus sur Peggy Vermeesch

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